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1. |
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l’argent parle/ de mieux en mieux/
J’entends les murmures/
sur les meilleurs moyens/
Pour éviter / la pire faim/
pas besoin d’être mille millions/
Regarde Achille et ses mirmillons/
Maximus /et ses mirmidons/
On fait le maximum/ avec le minimum/
écoute/ il y’a du /pain sur la planche/
Et on n’est pas des mange-miettes/
écoute les se contenter / d’être mignonne /
devenir des stars/en s’éliminant/
la télévision/Transforme les/
filles sans talent/en Céline Dion/
n’écoute pas média /
on respecte/ les femmes /
qu’elles soient en tailleur/ en minijupe/
tous frères/ Même ennemis/
dans le même merde/
pas de la même mère/
mais du même milieu
n’écoute pas les ministres /
et leur voie de miel/ tous pourris/
et on est murs maintenant /
Ecoute M.O.M.S/le savoir /
est une arme et toi tu m’ignore/
Ecoute tu veux te faire un billet viens je vais te montrer/
Donne le moi / on c’est jamais rencontrer/
Ecoute je vais te donner une leçon ouvre tes oreilles et prête attention
1er ment tu doit jamais faire confiance/
Ecoute ou regarde avec les oreilles/
Si il ya trop de mal entendu c’est que
les gens on du mal à ouvrir leur yeux
Regarde /les tourner en rond en faisant les 100 pas
Ils ont vrillait le sol /
en mille rosace et million de cercles /
chacun son cycle/
on est tous mêlé ensemble
pas de fleuve tranquille /
Regarde / nos vies on l’air saine (seine)
j’ai vue tellement de malentendu /
que mes yeux sont devenu sourd /
C’est triste/ regarde avec les oreille/
Vision de violoncelle /
Le vice rode/ et la violence ère /
Vie mi rose /mi violette c’est /
Ruée vers le luxe / les plus virulent servent /
Certain parle/en million en milliard /
Comme si il compter des microbe /
ou des mini insectes/
Va tu les Regarde / se servir / écoute/
Le business c’est sérieux/
Des mecs décèdent/ sans dix cents à eux/
Piéger dans le système /de ces salauds/Difficile/ de se sauver/
Mais /Les mecs sont de ces cerveaux /Ils essayent de/
s’en sortir par tous les moyens nécessaires/
Ecoute tu veux te faire un billet viens je vais te montrer/
Donne le moi / on c’est jamais rencontrer/
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2. |
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Qui fait peur
ce qui fait peur c’est pas la vérité c’est pas la réalité/
mais tous ses gens qui vivent en dehors
ce qui fait peur c’est pas le mensonge/ c’est pas l’ambition/
mais le manque de sentiments qu’il y a dans nos coeur
C’est pas le diable qui fait peur mais ceux qui font
appel a lui/On essaye de suivre à lettre/ les écritures
Les toxicos sentent /le mal être/car entre les lignes/
de coc/les narines apprennent à lire/C’est pas la rimes/
qui fait peur / mais l’inspiration / car plus c’est
difficile a vivre/plus c’est facile à écrire / poète malgré moi /
tous ce bordel/me rappel à l’ordre/obligé de trempé
dedans comme/la plume et l’encre C’est pas/les cris
qui font peur/ mais le bruit du silence/Après l’appel à l’aide/
ce n’est pas le mensonge qui fait peur /la vérité est laide
tu peux /la regarder pas en face/ou à travers a fumée d’un bédo/
c’est pas la ruine qui fait peur/mais ceux qui profite/
de la misère d’un pays/c’est pas l’argent qui fait peur/
mais tous ce que l’ont peut/avoir en payant/ quand
l’innocence/d’un enfant/tient sur le fil d’un pédo/
ce qui fait peur c’est pas la vérité c’est pas la réalité/
mais tous ses gens qui vivent en dehors
ce qui fait peur c’est pas le mensonge/ c’est pas l’ambition/
mais le manque de sentiments qu’il y a dans nos coeur
C’est pas la mort qui fait peur / mais c’est de mourir/
sans savoir pourquoi tu a vécu/ tu peut vivre pour l’argent/
et mourir pour tes potes /te faire balancer un jour/
et tué cette pute/ c’est pas la mort qui fait peur/
mais la peur qui fait que tu meurent pas si tu es cette pute/
C’est pas la rue qui fait peur/Mais d y vivre/
en sachant ce que les autres /Y on vécu/
tu peux vivre du shit et mourir /Pour une cigarette/
mais c’est pas ton code postale/Le nom de ta ville qu/
i fait que tu a des couilles/Et tu peux être un chef ici et /
une grosse victime ailleurs/C’est facile de jouer les chaud /
entourer de ses potes/Tu peux te faire menace un jour /
et aller porter plainte /C’est bien toi qui ne vaut rien/
et pas la violence/qui est gratuite/
ce qui fait peur c’est pas la vérité c’est pas la réalité/
mais tous ses gens qui vivent en dehors
ce qui fait peur c’est pas le mensonge/ c’est pas l’ambition/
mais le manque de sentiments qu’il y a dans nos coeur
tu peux vivre pour être vue et mourir/pour regard/
c’est pas ce que voient nos yeux qui fait pleurer/
c’est qu’ils/ sont ouvert /et que c’est toujours un cauchemar/
quand tu regarde ce qui se passe sur terre/c’est pas l’horreur /
qui fait peur/mais la folie des hommes/ paradis ou enfer/
qui c’est/ ou iront nos âmes / Est-ce la jalousie des femmes /
ou la faiblesse des hommes /c’est pas le mariage qui fait peur/
mais c’est de vivre/sans savoir ce tu fait avec elle /
c’est pas le temps/ qu’il faut perdre/c’est la course/
poursuite si tu veux gagner de l’argent c’est bien l’argent/
qu’il faut prendre/ quand/il faut rembourser /
tu veux gagner temps/ tu peux vivre pour la bourse/
et mourir dans un règlement de compte/c’est pas les risque/
qui font peur /mais la confiance/que ta famille a pour toi/
la voix de ta femme quand/elle demande pourquoi/
ce qui fait peur c’est pas la vérité c’est pas la réalité/
mais tous ses gens qui vivent en dehors
ce qui fait peur c’est pas le mensonge/ c’est pas l’ambition/
mais le manque de sentiments qu’il y a dans nos coeur
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3. |
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Mais quelle leçon tirons nous de l’histoire/
En guise de/ calumet de paix/
le corps fumant/ des indiens squaw/
C’est l’ironie du massacre/
Le pétrole/tire son chapeau/
a ceux qui tiennent / le monde au laceau /
car quand /L’argent mène la danse/
les plus riches n’aime pas le slow/
qui veut devenir / pharaon /
de la pyramide de Maslow ?
la vie c'est le Nil /et nullement /
un long fleuve tranquille/
les piranhas menace/ l'eau /
les pire ennemi de la nation/
tire les ficelles/ de la tyrannie /du mensonge /
et ces Pinocchio récitent /la tirade du/ nez/
de Cyrano le gascon
et se servent de leur langues de bois /
comme d’un pirogue ou d'un hameçon /
on est/ des Titanic en action /
pas besoin d’iceberg /
quand des/pirates nous mènent en bateau
on c’est perdu à mi-chemin/
entrain de reculer / encore un pas en /
arrière et on chute/
c’est perte d’honneur / lâcheté /
pénurie de justice/
l’espoir est mourant/
et la peur de l’autre va l’achever/
comme Pirelli ou Michelin /
j’essaye/ de tenir la route/je sais /
qu’il y a /pire ailleurs je n’échange /
rai/pas place/contre/ la somalie ou le Cachemire/
Irak ou Haïti /
c’est cette vision rétrécie
qui paralyse toutes nos chances/
qui paralyse tous nos sentiments/
toutes nos vie on nous ment/ et on meurt ignorant/
j’ai une vision du monde amère et horrible/
de quel évolution tu me parle / on a juste améliorer/
notre confort mais quelle leçon tirons nous de l’histoire
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4. |
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Viens avec moi je t’emmène ailleurs
Car j’en ai mare d’être ici/
l’impression de toucher le ciel
Mais c’est mon monde qui rétrécie
Viens avec moi je t’emmène Higher
Car j’en ai mare d’être ici/
l’impression de toucher le ciel
Mais c’est mon monde qui rétrécie
Fuir nos rue et s’élever on a que ce rêve loin des livres et des leçons lues
être avide et le vice/le plus célèbre on vend en litre dans ces lieux
on vole on livre au recéleur au volent on file à vive allure on accélère
Dans nos villes c’est vilain c’est le plus vil qui sévit poursuivi par le malheur c’est utile d’être le plus malin pour survivre
au lieu de courir après l’amour et être libre
On escalade vite ces lois, est ce que la vie c’est l’art
d’être un slarvi , ceux qui vivent cela
de remords se lassent vite /Mais ceux la vivent
C’est mieux que/de mourir de remords et être ivre
On dit que les meilleurs parte en premier,
moi je dit que c’est la vie Le meilleur partis à prendre
enfin c’est l’avis d’un mec qui est l’élu de celle et celui
qui galère seul dans sa cité dans sa cellule,
quel est le délit quand je bouge les lèvres
j’élève le level
la vérité est/tranchante comme un silex,
elle fout le feusi tu te frotte trop au lyrics
Viens avec moi je t’emmène ailleurs
Car j’en ai mare d’être ici/ l’impression de toucher le ciel
Mais c’est mon monde qui rétrécie
Viens avec moi je t’emmène Higher
Car j’en ai mare d’être ici/ l’impression de toucher le ciel
Mais c’est mon monde qui rétrécie
pas de famille royal Grimaldi
mais famille nombreuse frigo vide /
de ville en ville frigorifié par les même fais divers,
22 printemps /il était chaud et il est mort en le prouvant
l'arbre de la vie s'effeuille et vive Vivaldi
c'est d'un classique ces 4 saisons,
d’une rive à l'autre on vis au rythme
de nos rivalités,
c’est de l'argent mais personne n'arrive a être dans les temps/
a famine nous brise, fuyons vite, les fils d'ouvriers deviennent envieux
pénurie , flics horrifiés par les moyens utilisés, quand la faim divise
Système D ouvre les yeux et les oreilles,
système binaire, tu es numéro 1 ou un zéro,
Dans les zone sensible c’est l’euro que l’on vise,
finir avec au moins 1 et 6 zéro/pas comme Pauli Cissero, (le boss des affranchis)
certain on l’art de la vendre si la mort est le chef d’œuvre de la vie
faut se réveiller c’est l’aurore de notre vie
dormir c’est l’erreur de notre vie
on désir / au lieu / de se le procurer /
en donnant le meilleur/ de nous même/
Viens avec moi je t’emmène ailleurs
Car j’en ai mare d’être ici/ l’impression de toucher le ciel
Mais c’est mon monde qui rétrécie
Viens avec moi je t’emmène Higher
Car j’en ai mare d’être ici/ l’impression de toucher le ciel
Mais c’est mon monde qui rétrécie
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5. |
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Triste Balade
tu peux être le plus chaud,
le plus dominant des mâles,
si on te tire dessus,
et que tu n'as pas d’arme, tu cours
la débrouille a fait de nous ,des hommes d’affaires,
quand les affaires tournent mal,
les embrouilles ont fait de nous,
des hommes tout court,
car ils N’attendent pas d’être en froid,
pour jouer les chauds,
au début les mec sont à fond,
mais sont ils vraiment prêt
à aller jusqu’au bout,
sache que pousser à bout,
les mec ne savent plus qu’il font,
jusqu’au boom,
même ceux qui reste de glace, fondent
Les embrouilles,touchent des mecs nets au brutes
Comme si elles touchaient des fonds,
Mise bout à bout,c’est batailles forment une guerre,
on est de force sur le front,
coûte que coûte rester debout
seul ou en force sur le front
Marque un arrêt quand le cran fait défaut,
les vrais sont des durs,on des mentales en fonte,
tous se passe dans le tête,
Les coups de boule, laisse des traces,sur le front,
quoi ! mon nom dans la bouches des traînées,
Pour pas être traînés dans la boue
Certain mecs sont prêt à toucher le fond
Le sang à coulé pour mieux se noyer dans la colère
sang cœur comment
Trouver sa voix dans la chorale
La routine était mon refrain
avant même que j’écrive les paroles
Entre les lignes, regarde entre les larmes,
a quoi rime mon existence
Ma vie est une chanson et je chante
une triste balade
La vie n’est pas si simple
c’est un sample de soucis
une boucle un cycle
de souffrances et de sacrifices,
les chefs d’orchestre sont,
les cause et les conséquences
Des choix que tu fais
l’argent propre pue la sueur
et tous veulent être au parfum
l'argent sale pollue l'atmosphère et peu reste pur
beaucoup finissent par mentir
comme il respirent
mais personne n'est mauvais de nature
quand le jeune a soif le jeune bois D'Arcy
comme rien les freinent certain prennent racine à fleuri
de l'herbe des feuille et sa roule,
à l'alcool sa s'arrose,
après mise en terre des plantés
la mauvaise graine pousse
en brisant se qui se tiennent à carreaux
Dehors c’est suspect et louche
C’est comme une grande douche
on les mecs se baissent tous/
Tous pour ramasser la savonnette
et les jaloux la mettent profond
quand la flicaille ramasse se qui sont mouillés
c’est comme une grande loupe
a trop vouloir Voir gros
les mauvaise œil devient envieux et louche
et les frères tombes comme des mouches/
Je ne sais pas si les flics on du nez
mais si les murs on des oreilles,
les fenêtres on les yeux,
additionne les deux,
Et tu obtient une bouche,
qui met des nos sur des visages
Les soucis s'en vont moins vite que nos proches
Enfin de compte les prisons
se remplissent plus que nos poches
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6. |
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Nez à nez
On parle de tout de rien de rien du tout
Mes pote lâche rien du tout mais n’on rien du tout de lâche
Certain on lâché tout pour rien D’autre fume c’est tout
Pour nous c’est tout ou rien Car pour nous c’est tour et rien autour
Nez à nez / avec le néant n’ayant / rien
Qu’on soit né ici ou né au bled / on est en chien /
D’année en année / la haine né en moi /néanmoins /
On essaye tant bien que mal de faire autant de bien que de mal /
Dans ce mélange de démons et d’ange / démon est danger et le danger et de mon /
Ressort / quand l’argent st l’enjeu / les gens son dangereux /
Car il faut de la monnaie en main /
D’année en année les / ennuis les ennemis / m’on donné de l’énergie /
Je suis comme un boxeur un Mohamed Ali / qui va monter sur le ring /
qui veut montrer qu’il est sur de lui / qui joue avec le feu / et y met de l’huile /
monté d’adrénaline / j’aime quand d la peur me brûle / le ventre /
et m’entraîne au delà de mes limites /Je n’ai pas honte de l’admettre /
j’ai connus la défaite /perdu /le morale et la ligne /
un mot une ligne une rime /
et j’exprime / le défis / l’amour / et la haine /
qui te pousse quand tes forces s’élimine
et que la fuite te fait de l’œil /
dé fois / la situation /te force /à être/ un / homme /
et tu donne le maximum /
se battre encore pour être libre /
les battements de cœur pour métronome /
Chronomètre en main /
le temps passe vite Du Ventre de la mère à /
a soit même /mettre au monde /
Nez à nez / avec le néant n’ayant / rien
Qu’on soit né ici ou né au bled / on est en chien /
D’année en année / la haine né en moi /néanmoins /
On essaye tant bien que mal de faire autant de bien que de mal /
Dans ce mélange de démons et d’ange / démon est danger et le danger et de mon /
Ressort / quand l’argent st l’enjeu / les gens son dangereux /
Car il faut de la monnaie en main /
condamne a donner le/ meilleur/ de nous même /notre domaine l'élargir/
je suis comme un Draxter /un Michael Shumacher qui na pas atteint ses limites /
qui va atteindre les mille/ kilomètre heure /sans formule 1 juste avec le coeur et de l'envie/
mon mo / teur c'est l'ambi /tion /et je n'aime pas qu'on me double / vaincre être vaincu /
c'est la loi de la lutte/ mais si tu es mon ami et que tu me demande mon aide
/pas besoin de demander 2 fois / ta situation devient la mienne/même si tu est dans la merde/
c'est la règle de l'amitié/ comme rien ne se règle a l'amiable /mais sans pitié /
comme monde de la nuit / quel modèle on veux donner/ au môme /abandonner /
entre mal et le bien / la mort et la vie / ils sont mes arme et mon armure /
je vis pour ma femme et ma famille / meurs pour leur bonheur /
Nez à nez / avec le néant n’ayant / rien
Qu’on soit né ici ou né au bled / on est en chien /
D’année en année / la haine né en moi /néanmoins /
On essaye tant bien que mal de faire autant de bien que de mal /
Dans ce mélange de démons et d’ange / démon est danger et le danger et de mon /
Ressort / quand l’argent st l’enjeu / les gens son dangereux /
Car il faut de la monnaie en main /
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7. |
Faut pas jouer
04:51
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La mienne n'est pas si moche,
elle a juste un cocard
maquillée de matériel
est ce que ta vie est belle
ou juste coquette
entourée de beurres et de noirs
on voit la tienne d'un autre oeil
Personne ne viendra à notre aide
et surtout pas les bleus
j'étais fidèle à mes idées
maintenant je suis cocu
le système ma trompé
je doit être piégé dans sont cul
dans la merde
des factures des doigts pieds jusqu'au cou
mais toujours frais des baskets
jusqu'au cuir,
les heures sont longues
et les années sont courtes,
pendant qu'on collectionne des diplômes,
il y a des types ont paumés
du palier jusqu'au coin/
de la rue,
j'ai appris à prendre et à donner les coups,
pas à tendre la main
au lieu de se les serrer on se sert des coudes
certains sont sérieux, d'autres se font serrés
leur erreurs le servent d'écoles,
on rajoute du fond teint,
les bâtiments sont neuf,
nos villes sont mortes,
et on reste tous des fantômes
inexistants comme la même justice pour tous
est-ce une aventure ou juste un conquête
la liberté est belle,
c’est une dame de cœur,
mais sans certaines valeurs,
elle se retrouve au poker,
pas de quitte ou double,
va droit au but
comme Juste Fontaine
qui tente rien n'a rien,
il faut prendre son du,
faut pas jouer
trop de faut pas par jour
et tu fini là où il ne faut pas parjurer
reconnu coupable par juge
ou au pire par le jury
plus de copains, plus de cherie,
un packtage, une serrure,
tu partages, une cellule,
certain sont papa très jeunes,
incapables de gérer,
d'autres ne parle pas
agissent et palpent
n'ont pas peur d'échouer,
car si tu ne fais rien tu es personne
Nos vie sont vides et nos rue sont rude
vise à l'horizon si nos rêve sont vivants
vision d'horreur, il n'y a plus de demain
et nos 2 pieds sont liés,
mais quand la rue sévit, seul dur survivent
les petits sont vifs
et les prisons pleines
à part les chrysanthèmes
qui se souvient des partis trop vite
beaucoup de frères plus en vie
ne sont rien que poussière
pourquoi je rime sous vide
envie de souffler pas envie sourire
que le meilleur de notre passé
soit le pire souvenir de notre futur
nos vies sont rudes et nos rues sont vides
nos ville sont nouvelles
et les nouvelles sont vielles
les jeunes sont des vieux sans rides
et jouent a des jeux sans règles,
on use de nos vices,nos ruses
car les novices n'ont eus que les restes,
et il ne reste que ruines,
plein de risques mais rare sont riches
juste de quoi se nourrir ou au régime
des pissenlits par la racine,
concurrence à la dure aujourd’hui
c'est comme Molière par rapport à racine
tu connais le théorème,
pulsion libre quand le crime sévit
égale prisonnier
par rapport à racine
carré de patience
on tourne en rond
tel des tigres sans griffes,
essayant de gratter derrière les grilles
les été sont gris et le marché noir
les chèque en blanc comme l'hiver
certaines bandes bougent en silence
comme les vrais,
la rue est bruyante
car nos rimes sont des cris en vrac
elles décrivent nos rêve brisés
c'était écrit et celui qui tient
le crayons vois tout
Mes nuits sont blanches,
et mes jours sont gris,
Mes idées noires
car les rires sont jaunes,
car on a rien sans rien
Les galériens s’ennuis
les carrières sont gelées
aut pas jouer
trop de faut pas par jour
et tu fini là où il ne faut pas parjurer
reconnu coupable par juge
ou au pire par le jury
plus de copains, plus de cherie,
un packtage, une serrure,
tu partages, une cellule,
certain sont papa très jeunes,
incapables de gérer,
d'autres ne parle pas
agissent et palpent
n'ont pas peur d'échouer,
car si tu ne fais rien tu es personne
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8. |
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9. |
Bon Sens
04:19
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10. |
Déchiffres les lettres
04:53
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